Après avoir suivi un double cursus en lettres modernes et en communication culturelle, Charlotte Mano, née en 1990, étudie la photographie à l’école des Gobelins. Nourrie par des influences variées –de la littérature fantastique du XIXè siècle à la peinture symboliste et surréaliste–, son œuvre se déploie dans une atmosphère contemplative et mélancolique. Elle publie régulièrement dans des journaux comme Libération, Marie-Claire, ou encore Yogurt Magazine, puis assiste également des photographes et des plasticiens à l’instar de Dorothée Smith. Son travail a été exposé au Musée d’art contemporain de Nîmes, aux Promenades photographiques de Vendôme, à inCadaqués et à la Biennale d’Art de Kampala.